Splendide balade comportant en son point culminant une vue époustouflante sur la barre des Ecrins et l’un de ses glaciers. Ce parcours accessible au randonneur moyen, est un incontournable de la vallée de la Clarée.
Durée : env. 4 heures.
Dénivelé : un peu plus de 700 m.
Départ : camping de Foncouverte (2223 m) à l’entrée.
Itinéraire :
Au démarrage de l’ascension, le sentier assez pentu passe à proximité de chalets et traverse une zone forestière qui laisse ensuite place à des prairies escarpées.
On passe un pont de bois qui enjambe le ruisseau du Raisin pour atteindre le refuge du Chardonnet. Il faut suivre le GR 57 jusqu’à un embranchement qui fait face à l’extrémité sud, de forme pyramidale, de la crête du Queyrellin. On continue sur le GR qui s’élève lentement en surplomb du ruisseau du Chardonnet et au milieu d’un alpage évasé ponctué par quelques tourbières.
Le sentier franchit un vaste replat dénudé pour arriver au col du Chardonnet. De cet endroit situé à 2638 d’altitude, la vue plonge vers l’Aiguillette du Lauzet en contrebas. Au loin se détachent, du massif des Ecrins, le Pic de Combeyrot et son glacier, le Grand Galibier et le pic de la Moulinière.
La redescente s’effectue par le même itinéraire jusqu’à l’embranchement situé au lac du Chatelard. On quitte le GR 57 pour suivre le ruisseau du Chardonnet. Le sentier raide, traverse les éboulis de la crête du Queyrellin entre la côte Martine et les Rifs et aboutit à une série de chalets et à une petite chapelle. On descend une piste boisée pour rejoindre l’extrémité du camping de Foncouverte.
SYLVIE
Voilà une idée rando que je me réserve si je retourne dans cette magnifique vallée. La photo du lac est vraiment splendide : c’est quoi, c’est le lac du Chatelard dont tu parles ? Merci pour cet agréable partage en tout cas.
Muriel
Oui, Sylvie, c’est le lac du Chatelard. C’est un très beau circuit. La vue au point culminant est une attraction. Je me rappelle du pique-nique dans le pierrier rougeoyant, superbe.
Chaléas Marie
ça c’est du sublime !!! où je suis allée en 1990 et où un berger nous a conduit dans un coin d’edelweiss… ces sommets, ces hauteurs ! c’est le paradis que les humains ne peuvent pas atteindre, sauf occasionnellement ….