Voici quelques photos prises en ce début de printemps d’un nichoir que j’ai fabriqué et installé face à ma terrasse il y a 3 ou 4 ans.
J’avais lu que la sittelle torchepot réduisait souvent l’ouverture du nid en la maçonnant si elle jugeait celle-ci trop grande. En fait, j’ai pu constater au fil des jours qu’elle pouvait aller au-delà en calfeutrant à l’aide d’argile et de salive d’autres parties de son abri. Le toit et les côtés du nichoir laissant apparaître un espace propice au courants d’air, cet interstice a été comblé de manière très soignée.
Selon les spécialistes, c’est la femelle qui réalise la majeure partie des travaux de maçonnerie. Le mâle quant à lui, reste à proximité en émettant différents types de cris destinés à écarter les importuns.
Le nid est composé principalement de morceaux d’écorces et accueille généralement 6 à 9 œufs pondus fin avril. J’attends donc avec impatience la suite des évènements.







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